Ce qu’en dit Sigmund freud :
Souvent, les émotions peuvent être des phénomènes complexes qui font appel à la mémoire.
Ce qui en ressort c’est qu’il est difficile parfois de trouver la cause d’origine car la mémoire ne laisse sortir que les émotions attenantes. Et pas toutes les informations disponibles sur la situation de départ.
Ce qu’en dit Aristote :
Il y a un lien entre l’esprit et le corps. Lien entre la manière de penser et les émotions.
Si j’ai une tendance à penser de façon pessimiste alors j’ai plus de chance de déclencer des émotions négatives face à une situation donnée. Exemple : je suis dans une ville assez “sécurisée”, alors je vais me sentir en sécurité et marcher à mon aise car c’est la croyance que j’ai par rapport à cette ville. A contrario, si je suis persuadé que cette ville est dangeureuse alors je ne vais pas me sentir en sécurité donc je vais accélerer le pas et être anxieux.
L’émotion s’accompagne d’un besoin d’action. Qui dit action, dit “agir”. Nous pouvons agir par exemple en étant dans un “repli de soi”. Ex: tristesse > tendance à l’action > repli sur soi .
L’approche philosophique :
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dimension cognitive de l’émotion,
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émotion a une note positive ou négative,
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s’accompagne d’une action,
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influence notre jugement.